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elninhyo

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Messages posté(e)s par elninhyo

  1. ·

    Modifié par elninhyo

    bonjour,

     

    effectivement si vous bloquer le déplacement dans le sens perpendiculaire du portique , vous aurez lf = 0.5 l0 , dans le cas d'encastrement avec le massif et les raidisseurs , même avec un mauvais sol vous pouvez encastrer votre massif, faut juste prendre en compte la rotation supplémentairement (encastrement non parfait), moi personnellement j’évite de prendre des encastrement au niveau des massifs , plus compliqué à mon sens , 

     

    sinon vous avez une autre solution de faire participer votre longrine , si vous en avez une , dans ce cas vous aurez un cadre fermé , avec des articulation en pieds , et vous pouvez reduire  vos moments, a condition de calculer la longueur de flambement en fonction de la raideur des poutres et poteaux 

     

    faut pas oublier de ferraillager le noeud longrines et poteaux en consequence 

     

    bon courage

  2. bonjour,

     

    il reste maintenant à décider si vous voulez avoir une articulation en tete de poteau , pour minimiser le flambement , le plus simple c'est de prendre un encastrement en tete ,(le degré d'encastrement à définir en fonction de la poutre) , ne pas oublier de faire un autre calcul dans le sens perpendiculaire du portique ,la ya pas le choix ,vous aurez un encastrement -libre en tete

     

    bon courage

  3.  

    dans le cas ou sa hauteur est > à ses dimensions AxB (cas pas trop courant) il faut le calculer comme massif encastré dans le sol, donc en plus des condition de vérification de stabilité on calcul la contrainte engendrée sous et latéralement au massif dans les deux directions X et Y du repéré locale de la semelle.

     

     

     

    bonjour,

     

    auriez vous de la documentation sur le calcul des massifs encastré dans le sol mercii

  4. bonjour,

     

    un portique B.A ou métal ou bois , se calculent tous de la même façon , tu appliques la RDM classique , pour trouver tes efforts, 

     

    maintenant le plus dure c'est au niveau des relâchement et le degré d'hyperstacité que tu choisis , cela revient à la conception 

     

    pour les portiques béton , t'as plusieurs solution ,tout dépends de la rigidité que tu veux avoir dans ton portique

     

    si je peux citer quelques étapes à suivre je dirai pour un portique simple qui repose sur des fondations

     

    1- c'est quoi le degré d'hyperstacité que tu veux rédige ou souple ( encastrement en pieds ou articulé , relâchement en tète des poteaux ou encastrement ( cela influe sur le type de ferraillage et la section ))

     

    exemple pour un  encastrement en tète du poteau avec la poutre, tu dois continuer tes aciers entre le poteaux et la poutre, en gros tu mets un ferraillage d'angle classique en équerre avec les aciers équivalents du moment d'encastrement

     

    pour un relâchement en tète de poteau ( articulation entre le poteau et la poutre ) tu mets un ferraillage classique des poteaux et poutres, t'as pas à faire une connexion entre le poteau et la poutre , cette solution est plus simple à exécuté mais cela va t'imposer de prendre des encastrement au niveau de la fondation pour ce cas la (portique simple), pour que ton portique soit stable

     

    pour pouvoir considérer un encastrement au niveau de tas semelle , faut que le sol soit rédige , il doit bloquer la rotation de tas semelle pour avoir un encastrement , on peut faire un une semelle coulée plein fouille ,(pour vérifier tas semelle tu dois l’étudier en massif semi enterrer) vérification des contraintes dans les 3 cotés

     

    pour le calcul de tes poteaux , t'es en portique à nœud déplaçable ,attention à la longueur de flambement

     

    bon courage

  5. bonjour,

     

    même dans le cas ou les voiles ne sont pas liée entre eux , on peut considérer que les voiles sont articulés en bas et en haut , la charge horizontal que reprends le plancher ,on la transfère sur les voiles perpendiculaire, l'ensemble voiles ne sont pas liée entre eux , 

     

    cela empêche de faire la solution autostables qui a mon avis est très onéreuse surtout pour les fondations 

     

    merci pour votre participation

  6. ·

    Modifié par elninhyo

    bonjour,

     

    pour ma part ,je mets toujours une bêche d'ors gel , quelque soit la hauteur de la couche de forme ,cela fait beaucoup surtout pour des dallages de grandes surface,mais dans le cas des centres commerciaux, je considère que la longrine joue le rôle du hors gel, c'est un peu contradictoire, mais je considère que comme la longrine de 50ht à - 30 cm sur le massif ,plus la hauteur du massif , je suis en hors gel , c'est juste au niveau des massifs, mais pas au niveau des longrines vous me direz , mais j'ai jamais eu de problème avec le bureau de controle

  7. Posté(e)

    Bonjour,

     

    j'essai de modéliser une plaque sur 3 appuis ,coté par des poteaux ( raidisseurs renforcé ) , en bas par une longrine,

     

    comment faire pour avoir une déformé dans le meme sens que la plaque des poteaux, apres la modélisation ,je constate que les poteau se déforme pas ,je pense que c'est une erreurs de modélisation ,si quelqu'un a une idée

     

    merci

  8. Posté(e) ·

    Modifié par elninhyo

    Bonjour,

     

    Comme le nom indique j'aimerai savoir dans le cas 

     Ned< Nrd1 (vérification de la résistance de calcul aux forces axiales et aux moments 12.6.1)

     

    Ned< Nrd2 vérification de la stabilité de résistance flambement 12.6.5)

     

     les recommandations françaises disent que c'est pas obligatoire de mettre des aciers dans le cas des bâtiment 

    si les deux  conditions sont vérifiées

     

    et quand je lis  la section 12.7 (pour la limite de la fissuration )

     

    idem pas d'obligation

     

    moi je me dis ,faut-il pas comme même prévoir une nappe d'armature au moins pour le retrait 

     

    une autre question par rapport au type de murs ( I;II;III;IV)

     

    si je peux avoir un exemple d'emploi du type de murs par rapport à une situation

     

    à vous lire 

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