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En complément, l'abaque modifié pour les travées de rives inférieures à la travée centrale avec un coefficient alpha allant de 0,35 à 1 Cela permet d'appréhender le soulèvement de la travée de rive à partir d'un coefficient alpha proche de 0,375 ABAQUE 3TRAVEES PETITES RIVES.pdf
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Bonsoir, Les liens sont disponibles sur ce site en cherchant un peu avec le terme Kleinlogel Calcul dalot(pont cadre) selon Kleinlogel calcul d'un cadre fermé (dalot ou PICF) selon Kleinlogel formulaire des cadres simples de kleinlogel pour la clé, la voici : !uLVEB1CaU_-YJwqlIeFBGeLH2aUqBgpfG7smrXLkoXw
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pression vertical sur la semelle
philkakou a répondu à un sujet de Peter El Baba dans Sols & fondations
Bonjour, Le mur n'est pas étanche ! une partie du remblai s'est déversé sur l'autre sujet traitant de guyon massonnet.... Je rigole Pour répondre à la question initiale, à savoir la charge verticale sur le talon de la semelle : Il s'agit du prisme de terre de hauteur (H3 - épaisseur de la console) par la largeur du talon augmenté du prisme arrière de hauteur totale H et de largeur résiduelle du talon moins la largeur de la console la plus grande Ensuite il faut tenir compte de la charge verticale sur le remblai sur la largeur non interceptée par les consoles -
FORMATION : CALCUL DES PONTS DALLE PAR LA MÉTHODE DE GUYON MASSONNET
philkakou a répondu à un sujet de BELLAMINE dans Ouvrages d'art
Avec un peu de retard, voici mon adresse mail: philkakou@free.fr car sauf à être membre premium, on ne peut envoyer un mail à votre adresse mail figurant dans votre profil -
Merci pour les commentaires. Je reprendrai l'abaque pour bien matérialiser le soulèvement des appuis avec des réactions d'appuis négatives. Je regarderai aussi pour voir si je peux mettre des infos sur la déformée maximale. Par contre, avant de lire le commentaire, j'avais repris l'abaque pour une meilleure lisibilité en le scindant en 2 parties, l'une pour des valeurs alpha < à 1 (travée centrale plus grande que les travées de rives) et l'autre pour des valeurs alpha >1 (travées de rives plus importantes que la travée centrale) . Je les mets à disposition. Effectivement, cet outil ne traite pas les charges ponctuelles roulantes pour lesquelles les lignes d'influence et un calcul numérique itératif est évidemment indispensable. Son principal objectif était de déterminer les sollicitations maximales de la structure pour en définir les sections notamment pour les passerelles piétonnes non soumises à une circulation de véhicules si l'on fait exception du véhicule de service Plus précisément, mon objectif était d'appréhender visuellement l'évolution des moments en travée pour tenter de les équilibrer avec le moment sur appui pour maximiser le travail de la matière et voir l'incidence sur le rapport des portées. Un autre avantage réside dans le fait qu'on peut se fixer une descente de charge sur piles ou culées à ne pas dépasser et jouer ainsi sur le rapport des travées des passerelles. ABAQUE 3TRAVEES PETITES RIVES.pdf ABAQUE 3TRAVEES GRANDES RIVES.pdf
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Bonjour, Vous trouverez en pièce jointe, un abaque que je viens de faire pour le fun.ABAQUE3TRAV.pdf Il porte sur un ouvrage à trois travées dissymétrique permettant de déterminer les réactions d'appui et les moments maximum en travées de rive et centrale ainsi que sur les appuis intermédiaires. Les travées de rives sont de longueur similaire. La travée centrale est de longueur différente de telle sorte qu'on ait L RIVE = ALPHA x L CENTRAL A partir du rapport ALPHA entre les travées, on peut définir facilement les sollicitations permettant de dimensionner l'ouvrage. Je sais parfaitement qu'avec l'ère du numérique, les résultats sont obtenus facilement mais visualiser des courbes apporte un plus... Par ailleurs, en général les formulaires traitent toujours des 3 travées de longueur équivalente ou pour des travées de rapport alpha défini.
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FORMATION : CALCUL DES PONTS DALLE PAR LA MÉTHODE DE GUYON MASSONNET
philkakou a répondu à un sujet de BELLAMINE dans Ouvrages d'art
Sujet intéressant. Je vais tenter de le suivre car j'avais développé une petite appli il y a une vingtaine d'année. Par contre, n'ayant plus fait de maths depuis pas mal d'année, je sens que ce sera chaud ! -
On va essayer de comprendre comment fonctionne le mur... Normalement, un mur en T renversé sans console, subit au niveau du voile la poussée horizontale des terres. La face avant est comprimée et l'arrière coté terre est tendu. Cela produit un moment d''encastrement au niveau de la semelle. Le talon (coté terres supporté) est "cisaillé" à la jonction du voile et procure un moment. les aciers sont tendus normalement en partie haute Le patin (coté parement vu) s'oppose au basculement : partie tendue au contact du sol d'assise - partie comprimée en haut Pour un mur de grande hauteur, la poussée est importante avec augmentation du moment d'encastrement à la semelle. La disposition de la console (dessin de gauche du cahier à spirale) montre une dalle encastrée dans le voile. Cette console supporte la totalité du poids des terres au dessus. Cela conduit à faire basculer le mur coté terre et non du coté du parement. L'avantage c'est que cela réduit les efforts dans le voile par opposition et ainsi l'encastrement dans la semelle. Diminution du ferraillage donc du cout En général, on considère un écran fictif de poussée au coin droit de la semelle extrémité du talon : le schéma mécanique associe la poussée des terres sur la totalité du voile. On se trouve dans le cas le plus sécuritaire car sous la console, existe une zone de non poussée en fonction de l'angle de talus naturel des terres retenues. Si la console dépassait le talon, en toute logique, ce diagramme ne serait plus valable. A faire confirmer par d'autre ingénieurs géotechniciens On aurait une poussée trapèze sur la console et également une nouvelle poussée trapèze sous la console. La poussée totale serait très diminuée. Comme le poids des terres sur la console a tendance à renverser coté terre le voile s'il n'était pas rigide et que la poussée des terres aurait tendance à le renverser dans l'autre sens, le mur aura tendance finalement à glisser ou à riper vers l'extérieur. Élément à vérifier Pour contrer le glissement, soit je mettrai une bêche ou j'inclinerai l'assise de la semelle pour augmenter le coefficient de frottement béton/sol. Effectivement, pour revenir à votre interrogation : La console est et reste encastrée: S'il y a un mouvement, c'est un mouvement d'ensemble de la structure du mur qui "bouge" dans sa globalité et non pas une rotation à l'encastrement ce qui contredirait les conditions d'appui définies. Votre schéma montre une semelle correspondant à un encastrement sur toute sa largeur. Cela permet de calculer les efforts dans la semelle et les sollicitations engendrées dans le sol d'assise de manière traditionnelle pour le calcul des semelles filantes. Dans ma modélisation, j'ai mis des appuis avec des raideurs faibles : cela permet d'apprécier les efforts transmis au sol / poinçonnement. Comme le dit monsieur Bellamine, il ne faut pas chercher midi à 14h : Un calcul simple du mur de façon traditionnelle à la main peut se faire très facilement en rajoutant les efforts d'encastrement dans le voile et l'effort normal introduit dans le béton du voile. Quand mr Bellamine indique de ne pas tenir compte de la dalle console, il faut comprendre qu'il vous indique que le calcul de la poussée doit concerner la totalité du voile pour majorer les efforts dans le béton dans un souci de sécurité. Évidemment, il faut qu'au droit de la console, vous teniez compte du moment d'encastrement pour la définition des armatures à mettre en oeuvre. Pour finir, monsieur Fridjali donne un excellent conseil, à savoir négliger la butée car durant la vie de l'ouvrage, le sol sur le patin peut être retiré pour réaliser une tranchée pour mettre des réseaux... Bons calculs et bon week end. Amicalement
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Voici des schémas de principe effectués avec le logiciel RDM v7 IUT Le Mans d'Yves Debard IL faut créer l'ossature et définir les intensités des forces, les différents cas de charges, butée ou non. La difficulté réside dans la modélisation des appuis sous la semelle considérée comme une poutre reposant sur un sol élastique. Définir un sol très souple permettrait à mon avis de caractériser au mieux les contraintes dans la semelle. Idem pour la poutre console car je ne sais pas quel mode constructif est retenu : console construite sur le remblai mis en oeuvre ou pas ? remblaiement ensuite donc remblai meuble et peu de contact avec le sol.... tout cela influence la modélisation à retenir Déformation - effort normal - effort tranchant - Moment fléchissant (équivalent dans le cas présent au diagramme des contraintes) Voici des schémas de principe effectués avec le logiciel RDM v7 IUT Le Mans d'Yves Debard IL faut créer l'ossature et définir les intensités des forces, les différents cas de charges, butée ou non. La difficulté réside dans la modélisation des appuis sous la semelle considérée comme une poutre reposant sur un sol élastique. Définir un sol très souple permettrait à mon avis de caractériser au mieux les contraintes dans la semelle. Idem pour la poutre console car je ne sais pas quel mode constructif est retenu : console construite sur le remblai mis en oeuvre ou pas ? remblaiement ensuite donc remblai meuble et peu de contact avec le sol.... tout cela influence la modélisation à retenir Déformation - effort normal - effort tranchant - Moment fléchissant (équivalent dans le cas présent au diagramme des contraintes)
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Au vu du schéma, je modéliserai le mur avec 5 barres. La barre haute serait soumise à une poussée des terres trapézoIdale La console recevrait une charge uniformément répartie verticale. Cette console encastrée au voile et libre à l'autre bout reposerait sur des ressorts modélisant le tassement et la raideur du sol à retenir L'autre partie du voile de l'encastrement de la console à la semelle recevrait une charge des poussées des terres situées sous la console. 2 autres barres pour le patin et le talon de la semelle avec le poids vertical des terres. On ne peut pas considérer le point B comme un appui car lla poussée des terres a tendance à écarter le mur avec un déplacement horizontal.
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Le message édité comporte 2 fois les images. Je ne sais pas comment faire pour y remédier. Enfin, on voit cependant pour cette voute, que je sors du tiers central au niveau du piédroit de la culée donc traction incompatible avec pierres. Probablement, la culée a une épaisseur plus grande. La dimension que j'avais saisie devait correspondre à une formule de leveillé ou des allemands, je ne sais plus trop
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Je ne connaissais pas la formule d'Alberti. J'utilisais la formule suivante pour la détermination de l'épaisseur en clé de voute e0 = K(1+SQRT(2a) avec - a=rayon de la voute donc 2a=ouverture - k=0,15 pour un pont courant ; K=0,17 pour une route royale à l'époque et 0,20 pour des ponts de voies ferrées Ici on aurait une clé de 0,15+0,15x3,10^0.5 = 0m414 Donc le constructeur a du vérifier la stabilité pour une voute de 40cm en clé et 80cm aux reins ou une voute de 45cm en clé et 90cm aux reins. Voici un petit dessin autocad que j'ai retrouvé que j'avais fait pour faire une épure de Méry sur autocad. Le but est de montrer l'épaisseur différente de la voute par rapport au bandeau extérieur
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Il faut aller voir du coté du site plateforme eurocode 5 et COFIBOIS et AQCEN en les sollicitant éventuellement
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Déjà, le croquis est faux. Une voute en pierre dispose en général d'une épaisseur aux reins équivalent à deux fois l'épaisseur en clé. L'épaisseur en clé ne correspond pas toujours à l'épaisseur du voussoir en clé. Il existe des formules empiriques permettant de calculer les caractéristiques géométriques des voutes. Ensuite, la stabilité se vérifiait au moyen d'une épure de Méry. Regardez sur Internet et gallica, vous trouverez des vieux bouquins de calcul des ponts en maçonnerie (Dupuy, croizette desnoyers, etc) Avec Autocad, vous pouvez tracer l'épure facilement en vous aidant d'excel pour les calculs des voussoirs et faire les tableaux de correspondance des efforts 133459.pdf 20111014_133516.pdf 20111014_133532.pdf 20111014_133554.pdf
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Il faut revenir aux fondamentaux ! Calculez sous excel l'inertie d'une poutre en I avec la formule classique bh^3/12 en omettant les congés de raccordement. Vous définissez vos variable t,e, H,b et vous calculez les différentes inerties des rectangles pour obtenir finalement l'inertie de votre poutre. Vous verrez bien l'impact sur l'inertie de la poutre des augmentations d'épaisseurs soit de l'ame soit des membrures... L'inertie faible ou forte se calcul facilement en changeant b en H et vice-versa