Aller au contenu
CIVILMANIA

Toute l’activité

Ce flux se met à jour automatiquement

  1. Dernière heure
  2. bonsoir esque quelqu'un a ce livre "Programmer Autocad avec Diesel Autolisp , DLL,VBA " merci
  3. Aujourd’hui
  4. Hier
  5. Bonjour, Je vous joins un extrait de mon ouvrage espérant qu'il va vous apporter de l'aide voulu!!! Pr. DAHMANI Extrait de mon ouvrage!!.pdf
  6. On faisons la descente de charge sur arche ossature j'ai remarqué un problème il me donne au RDC une valeur de G=110T et au sous sol 103T et ce n'est pas logique Comment je puisse résoudre ce problème mes éléments ils sont bien posé mais il me donne une avertissement pour le panneau de dalle n°55 "Cet élément n'a pas pu être correctement prédimensionné (=> Rapport)"
  7. Bonjour J'ai une structure en charpente métallique (abris en profilé tubulaire) avec une hauteur de 3m Le problème qui se pose c'est que les fondations de la structure se sont des plots de 60x60 cm avec une hauteur de 40 cm(pas de fût ni de semelle ancré dans le bon sol de 1m/ TN avec une contrainte admissible de 5bars selon le rapport geotechnique) sachant que a 40cm d'ancrage le terrain est sableux Que ce que vous en pensez svp
  8. OUMNIA CCI

    Na 16539

    bonjour SVP, est que vous avez la norme NA 16539 /8 concernant la Boulonnerie de construction métallique à haute résistance apte à la précontrainte ? merci
  9. La dernière semaine
  10. Bonjour Je vous propose de redimensionner le bâtiment en procédant à un sondage des fondations pour s'il y'a lieu de les rechemiser et de reprendre entièrement la dalle . Apparemment tout est à revoir. Toute la superstructure est a été agressée.
  11. Bonsoir, Le tassement est, en règle générale, compris par les géotechniciens comme le déplacement vertical à long terme (10 ans) sous sollicitations quasi-permanentes (ELS QP). MAIS cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de déplacements verticaux sous une charge variable de courte durée d'application ! Le comportement d'un sol sous une charge (ou une contrainte) est d'abord lié à son état de consolidation et à sa compressibilité. Si on prends comme référence la théorie pressiométrique, alors : 1) pour un sol "normalement consolidé" ou "très légèrement sur-consolidé", peu à moyennement compressible, ce sont les théories d'élasticité linéaire ou non-linéaire qui s'appliquent. Lorsque l'on applique une contrainte inférieure à la pression de fluage, alors le sol va avoir un comportement "pseudo-élastique" = la loi contrainte/déformation est linéaire. Le comportement du sol est dit "pseudo"-élastique parce que, comme le dit M. Bellamine, si on retire la charge, la surface chargée ne reviendra pas à sa position initiale. Si on augmente la contrainte au-delà de la pression de fluage, en restant en dessous de la pression limite, le sol va alors avoir un comportement "élasto-plastique" = au delà de la pression de fluage, la réaction du sol est plus faible (mais elle existe). On modélise cela généralement par des lois de comportement à paliers successifs (et élastiques)...mais des lois de comportement plus complexes existent. Si on augmente encore la contrainte, au-delà de la pression limite, il y a alors "rupture" = qui dit rupture dit réaction insuffisante donc les tassements ne sont plus "calculables" puisque la portance n'est pas assurée. Pour un sol normalement consolidé, toute surcharge entraine un tassement; tassement d'autant plus important que l'indice de compression Cc est élevé ! Généralement, le tassement est proportionnel au terme Cc/(1+eo) que l'on obtient à partir d'essais oedométriques. 2) pour un sol "normalement consolidé" , moyennement compressible à très compressible, la théorie oedométrique semble la plus indiquée (cf ci dessous). 3) pour un sol "sous-consolidé", le sol ne supporte aucune contrainte. Il peut même tasser sous son propre poids ! Pour ces sols aucune construction n'est possible. Pour leurs appliquer une charge il va donc d'abord falloir les consolider. Un sol comporte un "squelette solide" plus ou moins grossier avec des "vides" plus ou moins gros. Le sol est donc plus ou moins poreux et les "vides" sont rempli soit d'air soit d'eau. Pour un sol complètement saturé, l'eau occupe tous les pores du squelette solide : lorsque l'on applique une contrainte sur le sol, c'est d'abord l'eau contenue dans ce sol qui va "encaisser" la charge => on va alors avoir une augmentation rapide de la pression interstitielle, si la pression limite du sol est inférieure à cette pression interstitielle, on va alors avoir une rupture du sol => c'est le principe de la fracturation hydraulique (rupture donc tassements non maitrisables), dans le cas contraire, les tassements "instantanés" vont être faibles (l'eau est incompressible) MAIS, la pression de l'eau dans le sol étant élevée, l'eau va essayer de s'échapper pour retrouver une pression d'équilibre, l'eau s'échappera facilement dans un sol très perméable (des graves alluvionnaires par exemple) et dans ce type de sol, la consolidation va être très rapide (voire même inexistante car la charge va être rapidement transférée au squelette solide du sol)...par contre, dans un sol fin, peu perméable, l'eau va avoir du mal à s'échapper. Le temps de consolidation du sol va donc être plus ou moins long en fonction de sa perméabilité. On comprend là que les notions de "drainé/non drainé" ne valent QUE pour des sols fins. Pour des sols granulaires, très perméables, ou pour des roches qui disposent d'un squelette cimenté, il n'y a pas de consolidation possible. Pour des sols compressibles à très compressibles, on réalise généralement un préchargement (d'autres solutions existent). Le principe consiste à mettre en place des drains verticaux (selon un maillage serré) de manière à faciliter le drainage de l'eau contenue dans le sol. Ces drains verticaux traversent toute l'épaisseur de la couche compressible et débouchent en surface dans une couche de forme également drainante. Au-dessus de cette couche de forme on ajoute alors un remblai de manière à ce que la contrainte apportée par le remblai atteigne 1.2 à 1.5 fois la contrainte future du projet (attention, le remblai doit être monté si besoin par étape de manière à ce que l'augmentation de la pression interstitielle ne dépasse pas la pression limite des sols). On peut alors suivre et prédire les tassements liés à la consolidation des sols sur une durée calculée à l'avance (grâce à la théorie oedométrique). Lorsque les tassements n'évoluent plus, on retire le remblai et on peut alors construire notre ouvrage sans risque de rupture et avec des tassements résiduels nuls. Comment est ce possible ? Plus le sol est chargé, plus il se consolide et plus on améliore ses caractéristiques vis à vis de la rupture. Plus simplement, l'augmentation de la consolidation des sols s'accompagne de l'augmentation de sa "cohésion non-drainée Cu". Ce phénomène s'explique logiquement avec les cercles de Mohr pour un essai de cisaillement consolidé rapide (paramètre lambdacu). Avec la consolidation, l'augmentation de la Cu permet d'améliorer la portance et les modules de réaction. Voilà déjà quelques éléments de réflexion. Le sujet est vaste et va rapidement déboucher sur les notions de modules de réaction. Il y a de nombreuses discussions sur le site traitants de ces sujets. Je vous laisse les découvrir. Pour répondre à vos questions : "Ma première question est la suivante : est ce que les fondations sont toujours dimensionnées pour n’être associées qu'au domaine élastique ?" => oui c'est préférable pour une meilleure maitrise des tassements. "Ma deuxième question : est ce que les petites déformations (tassements) sont toujours associées au domaine élastique ? et les grandes déformations (tassements) toujours associées au domaine plastique ?" => cf les explications données ci-avant... "Ma troisième question : dans le domaine élastique on utilise E pour le module d'Young, Em pour le module de Ménard et Eoed pour le module oedométrique, et dans le domaine plastique ?" => cf les explications données ci-avant... "Ma quatrième question : les états ELS et ELU appartiennent-ils toujours au domaine élastique ?" => comment pourrait-il en être autrement ? Cordialement
  12. bonjour. SVP ,est ce que le logiciel staad pro travail avec CCM97 ou eurocaod 3 et c'est le différence de ce logiciel et ROBOT D'ANALYSE . merci
  13. Bonjour, Merci beaucoup pour vos retours c'est très gentil. Donc un sol possède généralement une phase pseudo-élastique, puis plastique et enfin rupture ? Et pour qu'un sol tasse fortement sans atteindre la rupture il faut utiliser des techniques de consolidation ? Mais si la rupture du sol est atteinte alors les tassements seront impossibles à déterminer car beaucoup trop importants et imprévisibles ? Bien cordialement.
  14. Bonjour, Ça dépend des dimensions de ton ouverture, pour le chevêtre ça dépend de la capacité des hourdis de part et d'autre. Cordialement.
  15. BELLAMINE

    ERREURS CYPECAD

    Bonsoir 1) Donne un descriptif de la nature de ton projet pour lequel vous avez eu ces massages d'erreurs ... 2) les messages d'erreur font la référence aux articles du BAEL à consulter pour comprendre la source des erreurs et les solutions à envisager ... Cordialement
  16. SamTouré

    ERREURS CYPECAD

    Bonsoir Je suis confronté à ces différentes erreurs sur CYPECAD et je souhaiterais avoir des solutions pour corriger les différentes. Merci 1) Non valide: État limite d'épuisement par torsion. Traction dans l'âme. (BAEL 91 révisé 99, Article A5.4.4) Non valide: État limite d'épuisement par torsion. Interaction entre torsion et effort tranchant sur l'axe Y. Traction dans l'âme. (BAEL 91 révisé 99, Article A5.4.4) 2) Crosse par compression Arm. comp.sup. Non valide: État limite d'épuisement face au cisaillement (combinaisons non sismiques) (BAEL 91 révisé 99, Article A.5.1) 3) Non valide: État limite d'épuisement face au cisaillement (combinaisons non sismiques) (BAEL 91 révisé 99, Article A.5.1) Non valide: Etat limite d'épuisement face aux sollicitations normales (combinaisons non sismiques) (BAEL 91 révisé 99, Articles A.4.3. A.4.3.5.A.2.2.2.A.3.3 et A.4.3.4) Non valide: Etat limite d'épuisement par torsion. Interaction entre torsion et efforts normaux. Flexion autour de l'axe X. (BAEL 91 révisé 99, Article A.5.4.4) Non valide: État limite d'épuisement par torsion. Interaction entre torsion et effort tranchant sur l'axe Y. Compression oblique (BAEL 91 révisé 99, Article A5.4.3) Non valide: État limite d'épuisement par torsion. Interaction entre torsion et effort tranchant sur l'axe Y. Traction dans l'âme. (BAEL 91 révisé 99, Article A5.4.4) Il n'est pas possible de réaliser la vérification car les efforts agissants produisent la rupture de la section.
  17. Bonjour. Entre appuis on prend en général L/200. Donc pour un porte faux, ca revient à L/100 avec L la longeur du porte à faux. --> OK pour la formule sur la flèche Robot calcul les efforts, les instabilités et les déplacements (donc flèche) BZK
  18. Avant
  19. Bonjour "Reponse générée par IA : Les normes relatives à la fixation des goujons dans le béton varient selon la région et le pays. Voici quelques exemples de normes internationales couramment utilisées : 1. Normes européennes (EN) : Les normes EN 1992-4 et EN 1992-1-1 définissent les méthodes de calcul et les critères de conception pour les fixations dans le béton en Europe. 2. Normes américaines (ACI) : L'American Concrete Institute (ACI) fournit des recommandations et des directives dans ses codes, notamment l'ACI 318 qui traite de la conception et de la construction des bâtiments en béton armé. 3. Normes internationales (ISO) : L'Organisation internationale de normalisation (ISO) a également des normes pertinentes pour la fixation dans le béton, comme l'ISO 898-1 qui traite des propriétés mécaniques des fixations. 4. Normes nationales : De nombreux pays ont leurs propres normes nationales spécifiques à la conception et à la construction dans le béton, telles que le Code de construction du Canada ou les normes du Ministère de l'Équipement en France. Il est recommandé de consulter les normes spécifiques à votre région ou pays pour obtenir des directives précises sur la fixation des goujons dans le béton." Cordialement
  20. Bonjour; j’espère que vous allez bien; comment on calcul la force d'arrachement ? Merci de me répondre. Cordialement.
  21. Bonjour Exactement, je pense que Oui. S'il y avait une norme dans ce sens le CTC aurait dû la mentionner dans sa note d'observations ...
  22. Donc il y a pas une norme précise Juste une recommandation pour la sécurité de l'ouvrage
  23. Bonjour. J'ai eu ouverture dans une plancher hourdis de 2,2 m. Est ce conseillé d'utiliser un chevêtre dans ce cas?
  24. Bonjour Soient As = 44,86 cm2; phi : diamètre d'une barre e : espacement entre Axes ! des barres du lit n : nb de barres pour un lit; on a : 1) n.π.phi^2/4 = As ==> phi = 1,128.racine(As/n) 2) 10+(n-1)e + phi = 65 cm Application : Pour n=5 ; phi=1,128.racine(As/n)=3,38cm !? De même pour n=6; phi=3,08cm donc phi=32mm ==> e = 10,36cm Cordialement
  25. Bonjour tout le monde. J'ai une question à propos de disposition des armatures dans un pdr de 65 x100 cm x cm. J'ai trouvé une section de 44.86 cm² en appuis es ce que je peux faire 5 barres dans un lit et 3 lits pour les chapeaux ? J'ai un enrobage de 5 cm.
  26. bonsoir veuillez me donnez votre avis sur la faisabilité du maitres des poutres treilles de 34m de pignon chaque 5 m sur plusieurs niveau afin d'avoir la forme (voir photo ci jointe) veuillez me donnez un redimensionne de la poutre treilles
  27. BELLAMINE

    Norme de voirie zone urbaine

    Bonjour En général, la norme utilisée pour la conception des voiries en zone urbaine est la norme NF EN 124-1:2015, qui établit les exigences pour les regards et leurs couvercles utilisés dans les voiries. Cette norme couvre divers aspects tels que les dimensions, les matériaux et les essais de charge. Cordialement
  28. Bonjour Lorsque la hauteur du béton dépasse 1,5 mètres, le Centre Technique de la Construction (CTC) peut recommander la réalisation d'un voile plutôt que d'un béton banché pour assurer une meilleure stabilité et résistance aux contraintes. Les voiles ont tendance à offrir une résistance latérale supérieure, ce qui peut être nécessaire pour contrer les forces exercées par le dénivelé entre les deux assises. Cette recommandation peut être basée sur des considérations de sécurité et de durabilité. Cordialement
  1. Charger plus d’activité
×
×
  • Créer...